Ouvrant les yeux sur le plafond de sa chambre d’un coup brusquement, Kenpachi sortait de son profond sommeil pour constater son retour aux sources. Le soldat reconnaissait distinctement grâce aux objets porte bonheur déposé par ses amis, la chambre d’hôpital dans laquelle il s’était réveillé brusquement pendant l’assaut des Inuzuka la veille.

Il faut dire que ces quelques jours passés n’avaient pas été de tout repos pour le soldat de l’unité coloniale, qui commençait a peine a comprendre pourquoi son frère ainé tenait tant que ca a le garder éloigné de l’armée du feu et tour ce qu’il en découlait. En moins de 3 jours le Bakuhatsu était passé par toute sorte d’émotion, faisant face a toute sorte de scène, et frôlant lui-même la mort à quelques reprises.

A peine de retour a lui-même, Kenpachi retrouvait difficilement ses sens, mais au bout d’un moment il était à nouveau capable de sentir, et ce fut une bien douce odeur assez agréable qui lui traversa les narines en premier. Le parfum était si agréable que le jeune homme se sentait totalement détendu et dans un état de plénitude totale.

Si tout mouvement lui était encore impossible jusqu’à ce moment suite a l’importante fatigue musculaire accumulé en forçant pour aller combattre malgré qu’il venait à peine d’être sorti de force d’un profond coma, le soldat commençait a ressentir comme une légère charge posé sur sa main droite, en même temps qu’il ressentait de légers picotements dans les orteils et le contrôle de ceux-ci lui revenir petit a petit.

Le soldat commençait alors a tourner lentement la tête vers la droite, toujours subjugué par les effets du parfum extrêmement relaxant afin de voir ce qui pouvait bien lui appliquer une telle pression sur le bras.