Le petit matin se levait paisiblement sur le beau Village Caché des Nuages. Le nom était de circonstance, vu la multitude de duveteux parsemant les cieux azurés. La nuit avait été fructueuse au Sadōcha. Comme toujours, la soirée avait fait rage, contribuant à garnir les caisses de l’établissement. Ces fabuleuses nocturnes du Thé s’avéraient une activité des plus prisées, au grand plaisir de la patronne des lieux, la Belle et non moins malicieuse Sadō Shana. Avec un tel succès, la maison de Thé cristalline pouvaient se targuer d’incarner la quintessence de ce qu'était la crème de la crème. Les clients entraient pleins aux as, puis repartaient lessivés. Lessivés mais heureux.
Comme à son habitude, la patronne arrivait à ce sanctuaire dédié à la folie des grandeurs. Habillée d’une tenue des plus classieuses, avec toujours une préférence pour la teinte écarlate, sa démarche assurée ne pouvait que laisser pantois tout Kumojin, ainsi qu’admiratives les Kumojines. Nonchalante, sa grâce envoûtait quiconque avait l’audace d’oser porter ses yeux sur la divine créature à la crinière de jais. Entrant dare dare dans l’établissement, les employées lui firent, comme il se devait de coutume, une révérence, en se prosternant plus bas que terre. C'était la routine après tout. S'incliner devant la fabuleuse était un honneur, voire un privilège.
“ Ohayo ” -dit elle sobrement, avant de se diriger d’un pas gracile
C’était étrange, car une peur certaine se dessinaient sur les visages de ces petites soumises, une angoisse inhabituelle, qui ne manquât pas de susciter la curiosité de la maîtresse des lieux.
“ Toka-chan ! “ -haussant le ton, mais de manière raffinée-
L’interpellée, sursauta, s’avancant avec timidité vers la rougeoyante impératrice de cristal.
“ Est ce de la peur que je ressens ? “ -la fixant avec une lueur inquisitrice-
“ ... Maîtresse !!! C’est terrible !!! Gomenasai !!! “ -s’inclinant en tremblant de peur-
De son index, qu’elle portât sous le menton de la pleurnicharde, elle vint relever sa face, afin de la regarder dans les yeux.
“ Voyons, parles, que s’est-il passé ? “
“ Les… Snifff, ce matin quand on est arrivées… Tous les stocks de thé… snifff... “
Le regard de l’héritière s’assombrit, comme son visage prenant dès lors une moue des plus évocatrices.
“ Ces petits bâtards de Suishō no Sadosu… Ne me dites pas que… “ -s’énervant-
Les petites employées tremblaient, apeurées par la colère de la courroucée. Ces sacripants d’adorateurs du Cristal se faisaient un malin plaisir depuis quelques temps à jouer des mauvais tours au Sadōcha. Chose qui horripilait au plus haut point la jeune femme. Aucun doute possible, pour oser s’attaquer à l’ancestral clan du Thé, il n’y avait qu’eux d’assez fous.
“ Où est Midori-chan ?! “ -la cherchant du regard-
Il fallait réagir, afin de connaitre les raisons derrière leur méfaits, mais surtout, se débarrasser une bonne fois pour toute de ces fichus sacripants.
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Dernière édition par Sadō Shana le Mer 14 Mar 2018 - 3:19, édité 2 fois
"Mais on juge les gens parce qu’ils sont liés aux autres et au monde, qu’ils le veuillent ou non. C’est leur destin. Dans ce cas, lorsque les sentiments personnels de quelqu’un se retrouvent confrontés à la volonté du monde, cette personne est considérée comme une vulgaire existence confuse et vaine.."
La nuit avait été longue, comme à son habitude, et tout autant agitée. La vie nocturne de Kumogakure avait battu son plein au travers de moult activités, ces dernières regorgeant de vices plus divers et variés les uns que les autres. C’était la vie qu’elle menait, accompagnée d’autres de son clan et plus particulièrement sa grande sœur. Après avoir annoncé son souhait de devenir Daimyo à la place du Daimyo, elles s’étaient certes engagées dans le corps armé du village mais elles n'en faillirent pas moins à leurs obligations. En effet, il y avait un salon de thé à faire tourner. Gérer les relations, les réapprovisionnements et la clientèle. Il y avait aussi le détail du clan. Étant des héritières, elles avaient une image à entretenir et des devoirs envers les autres membres. Ah, ce n’était pas de tout repos, vraiment.
Peu de temps après la fin des petites festivités de l’ombre, la demoiselle s’était dirigée vers ses quartiers personnels et ce, pour ne pas vous le cacher, afin de se prélasser dans une source d’eau chaude des plus vivifiantes. Elle avait décidé de ne pas venir seule. Bien évidemment, elle n’allait pas se frotter le corps elle-même. C’est donc quelques servantes et autres femmes du clan qui avaient l’honorable tâche de s’occuper du divin corps de la délicate émeraude. La règle était simple et unique : le seul frottement autorisé est celui effectué avec la poitrine, tout en étant entièrement dévêtue. Trempant alors dans ces eaux destinées à devenir impures, elles s’adonnaient à un spectacle se rapprochant bien plus de l’orgie que du lavement. En effet, les gestes étaient très sensuels. Ils témoignaient d’une certaine ardeur féminine mélangée à une insatiable envie de la satisfaire.
Tout se passait donc pour le mieux pour l’héritière, orgasme après orgasme, variant plaisirs et joyeuses défleuries. Bien évidemment, les soumises faisaient aussi la queue pour s’occuper de son membre… distingué. Tout était parfait et tout était fait de sorte à ce qu’elle se détende au mieux après cette folle nuit. Malheureusement, ce bonheur n’allait pas durer. L’agitation semblait gagner les résidents et la favorite de l’héritière entra alors dans les bains, légèrement affolée.
Midori-san, watashi… interrompue à la vue de la scène témoignant d’une divine représentation charnelle.
Nandesuka ?se relevant noblement, poussant avec douceur les servantes présentes.
La favorite rougissait devant elle mais eu quand même la force d’annoncer la nouvelle. Après la brève explication, elle sortait du bain en enfilant un kimono des plus soignés et luxueux.
Naruhodo.. Arigato, Majiru-chan.en essorant ses cheveux.
Elle partit alors pour le salon de thé de sa grande sœur, ne perdant point de temps. Arrivée sur place, elle remarqua qu’une atmosphère inhabituelle régnait en ces lieux. Elle alla donc voir la gérante, où qu’elle puisse être.
Doushitano, Shana-chan ?d’un air fort intrigué.
Les fabuleuses n’étaient, visiblement, pas au bout de leurs peines. Aussi, quiconque voulait s'en prendre à la récolte du clan se devait d'en payer les conséquences.
L’éphémère reflet cristallin miroitait sous l’astre incandescent, sublimant la quintessence de ce que le mot fabuleux implicitement signifiait. Nul ne pouvait se targuer de tant d'opiniâtreté et de malice, que les héritières du Cristal. Comment ne pas être frappé d’admiration devant la noblesse et l'élégance du clan ancestral lié à l’eau parfumée ? La folie poussait pourtant certains à chercher querelle envers cette perfection. Cela était inadmissible, impensable même, que d’oser s’attaquer à si sacrale divinité. Soit il fallait être aliéné, soit fanatique aveuglé, pour penser que tel crime resterait impuni et s’évaporerait dans les limbes de l’oubli..
La sœur de l’écarlate était absente, certainement en train de s’amuser, comme à son habitude. Après tout, quand on était fabuleuse, tout était permis. La faisant quérir au plus vite, via l’une des employées de la Maison de thé et de cristal, Shana se demandait ce que ces satanés fanatiques complotaient. Il ne fallait pas être malinois pour se douter qu’il y avait anguille sous cristal. Chercher à se mettre la famille du Thé à dos sans une raison valable n’était que pure folie. Peut importait au final, car cela s’avérait déjà la goutte d’eau chaude faisant déborder la tasse. Affichant un sourire, afin de garder les apparences, mais surtout montrer que tout cela ne la touchait pas une seconde, la femme à la chevelure de jais demandât comme d’habitude à sa préféré de lui apporter et de lui servir sa boisson habituelle.
La dévouée esclave s'exécuta, toujours apeurée et désolée de ce qui était arrivé à sa vénérée maîtresse. Impériale, cette dernière s'installât dans son bureau. Pièce appelée ainsi mais étant plus proche d’un espace de détente personnel en réalité. Savamment décoré avec une prédominance pour la teinte vermillon, il y avait beaucoup de cristal et d’autres objets grandiloquents. S'asseyant avec correction et de manière raffinée à la table entourée par une multitude de coussins satinés de couleur criarde et sanguine, la jeune femme réfléchissait en patientant.
Le stock de thé avait été pillé en grande partie, ce qui représentait une somme certaine, bien que goutte d’eau dans l'infini océan incarnant la fortune clanique. Les raisons derrière cette infamie se faisaient obscures et insaisissable.
La servante revint, portant un plateau de fin cristal des plus distingués, qu’elle déposa avec humilité sur la table..S’agenouillant, afin de servir la Belle, elle plaça la tasse translucide et miroitante, puis s’affairât à terminer l’offrande prouvant sa totale dévotion. Présentant alors le nectar boisé, qui avait une teinte peu commune. L’eau chaude arborant une profonde couleur rougeoyante, mais obscure. Il s’agissait d’un mélange particulier à base de feuilles de thé noir, ainsi que divers agrumes, conçu par les maîtres en la matière. Le clan Sadô gardait secrètes ces précieuses recettes ancestrales, depuis la nuit des temps.
Shana fixât le reflet qui se jouait sur la surface aqueuse, toujours impassible. Ces satanés voleurs de thé continuant de tarauder ses esprits. Cela était leur accorder que bien trop d’importance.
“ Quelque chose ne va pas, Shana-sama ? “ -demandât la soubrette, avec une voix hésitante- “ Vous… ne semblez pas comme d’habitude… “
Tournant la tête vers l’impétueuse gourgandine, Shana lui sourit. Elle faisait bien de se manifester.
“ Viens plus près... N'ai pas peur. “ -d’une voix malicieuse-
Rougissant, la belle se rapprocha timidement, en se pliant au moindre des ordres de la fabuleuse.
“ Où sont passés tes manières... Manquer à ce point d’élégance en me servant le thé... “ -d’une voix calme et posée-
Écarquillant les yeux, stupéfaite, la jeune femme se mit à trembler tout en baissant le regard.
“ Tu as été une très vilaine fille, Toka-chan. “ -soupirant en haussant les épaules- “ Qu’est ce que je vais bien pouvoir faire de toi ? “ -lui posant la question, sans attendre de réponse particulière, se contentant d’un air désabusé s’esquissant sur ses doux traits-
Elle avait fait aucune erreur en servant le thé avec une élégance et un raffinement faisant montre d’une expertise totale en cet art que de servir avec abnégation, de toute son âme et de tout son être. Mais l’héritière ne l’entendait pas ainsi, car elle devait se changer les idées et l’occasion offerte était trop alléchante pour être ignorée.
“ Punissez-moi, Shana-sama ! Onegai ! “ -se prosternant face contre sol, avec ferveur-
Un rire cristallin s'échappait de manière légère, souligné d’un sourire des plus malicieux.
“ Je vais te punir comme il se doit. “
Cependant, la porte s’ouvrit, dérangeant les plans se profilant à l'horizon. Une des employées venait indiquer que Midori, la très chère sœur de la rougeoyante venait d’arriver. Une visite attendue avec une impatience certaine.
“ Midori-sama est arrivée “ -l’informant en s’inclinant, avant de refermer la porte-
Shana regardât la docile Toka un bref instant. Elle était encore en position de totale soumission, attendant sagement d’être châtiée. Cela était dommage, mais il fallait avoir le sens des priorités. Sa préférée, la douce et innocente Toka allait devoir patienter. Elle n'était pas sa servante attitrée pour rien, une véritable perle, qui demandait d'être disciplinée avec du temps et du savoir faire, afin d'être parachevée. Cela embattait plus que de raison la maîtresse des lieux que de devoir remettre à plus tard le châtiment, mais le problème des voleurs était important.
“ Toka-chan, va attendre dans ma chambre. Je m’occuperais de toi un peu plus tard. “ -d’une voix douce-
“ Vos désirs sont des ordres, Shana-sama. “ -se relevant en baissant toujours les yeux, d’une voix cathartique, l’ingénue se retira en suivant les saintes paroles qui lui furent dictées-
Quelques instant suffirent pour que la porte s’ouvre une nouvelle fois, laissant apparaître la verdoyante semblant toujours aussi fabuleuse.Elle était accompagnée d’une des soubrettes de l'établissement.
“ Midori-chan, je t’attendais. Viens t’asseoir, nous devons discuter. “ -l’invitant à venir prendre ses aises-
Faisant signe à la soubrette d’aller chercher un rafraîchissement pour l’espiègle jeune femme, Shana porta sa main sur le cristal de son thé, faisant glisser son doigt sur le rebord, avec sinuosité et attention.
“ C’est enfoirés ont recommencé. ” -prenant une voix sérieuse-
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"Mais on juge les gens parce qu’ils sont liés aux autres et au monde, qu’ils le veuillent ou non. C’est leur destin. Dans ce cas, lorsque les sentiments personnels de quelqu’un se retrouvent confrontés à la volonté du monde, cette personne est considérée comme une vulgaire existence confuse et vaine.."
Pénétrant dans l’antre de sa sœur, l'émeraude demoiselle ne réagit pas face à tout le caractère fabulous de l’endroit. La richesse faisait ce qu’elles étaient. Leurs traits fabulous faisaient ce qu’elles étaient. Leur goût pour la fabulous life faisait ce qu’elles étaient. En bref, elles étaient fabulous, oui. Abandonnant les soumises au pas de la porte, elle partit alors s’asseoir, non sans impatience d’en savoir plus sur la raison de sa présence en cette distinguée adresse.
Masaka… avant d’effectuer la pose gendo, en abordant un air des plus sombres.
Ces tarés qui passent probablement leurs journées à se frotter à un cristal géant vieux de deux cent ans avaient à nouveau frapper. L’écoute de cette nouvelle de fit pas prier la réaction de la délicate au sang chaud, elle ne pouvait pas les voir en peinture ces petites merdes. Les considérant comme des traîtres évidents, elle pensait aussi d’eux qu’ils freinaient les affaires du clan en plus de possiblement détériorer son image par la même occasion.
Pour combien ont-ils pris ? Avez-vous fait l’inventaire ? Si on considère bien sûr que ces fils de putes aient daigné nous laisser quelque chose. en relâchant sa pose gendo pour serrer un poing et se frotter le menton avec l’autre main.
Comme à leur habitude, ils ne s’en prenaient qu’aux réserve de thé. Une chance quelque part, pour les membres de cette famille ancestrale. Ces dégénérés pouvaient tout aussi bien vouloir s’en prendre aux précieux proches des fabuleuses. Elle ne le permettrait pas. Non, pas moyen. Définitivement, c’était un non. Serrant les dents à cette unique pensée, elle préféra se détendre, le thé arrivait enfin. Visiblement, une nouvelle variété lui était servie. Ne manquant pas de lâcher un petit sourire, elle trouvait son aînée incroyable à toujours trouver de nouvelles manières d’apprécier ce breuvage divin. Puis elle se leva promptement, posa un pied nu sur le bureau et une pose exceptionnelle, dévoilant quelques parties de son corps mais surtout la représentait comme une conquérante.
Occupons nous de ces déchets humains, Onee-chan!!!! en la regardant dans les yeux, d’un air naïvement déterminé.
Cette surexcitée de la vie voulait, de toutes évidences, en découdre avec les détracteurs du divin thé. Ses yeux hébergeaient la flamme ardente de la fougue de la jeunesse, reflétant ainsi son esprit comme un chercheur de querelle sans pareil et ces dernières sans pareilles. Tout son être brûlait d’une ambition sans précédent : devenir la maîtresse de ce monde ! Elle se reprenait enfin, reprenant place qui lui était attribué à la base. Se raclant la gorge de manière fort élégante (c’est possible ?), elle tenait à faire une précision sur tout cela.
Je veux dire.. en saisissant sa tasse de thé fabulous.
Assurons nous que plus aucun problème ne soit à notifier à l’avenir. avant de siroter.
L’heure est grave, le problème s'avère épineux. La discussion se profile à l’horizon d’une cristalline et élégante intimité entre Émeraude et Rubis. Bien trop longtemps que la farce (ne suscitant aucun humour, mais le courroux) perdure en restant impunie. Mettre fin aux agissements fallacieux de leurs détracteurs s’impose, car nul ne doit se jouer renard envers la Quintessence des fabuleuses.
La verdoyante pose son séant, la discussion peut commencer entre les deux héritières du thé. Les regards se croisent, mais surtout se parlent déjà dans le mutisme. Pas besoin de mots pour se comprendre, car toutes deux sont fabuleuses. Même un Yamanaka ne peut saisir la subtilité résidant en ce puissant et fort lien clanique que d’être fabuleuse. Il ne s’agit point de l’esprit qui incarne ce don naturel. Insondable. Un soupir s’échappe imperceptiblement sous la cambrure affichée d’un rictus de circonstance, avant que les fines épaules ne se haussent au diapason des mots prenant place.
" Je préfère ne pas savoir. Ces enfoirés, en plus de nous voler, ont certainement tout mis sans dessus dessous. Comme la dernière fois... "
Cela pouvait être pire, rien que d’imaginer les doigts trapus de ces mécréants se poser sur ses possessions la révulse, lui insufflant des hauts le coeurs. Mais sa nature (fabuleuse) lui impose de préserver les apparences, même devant sa soeur (qui n’est pas dupe). Ne point faire montre de son désarroi.
Il faut s’en occuper, afin que plus jamais les odieux criminels ne réitèrent leur sacrilège. Mais comment attraper ces malades mentaux, fanatiques se livrant certainement à stupre et luxure à l’orée de la divinité inspirant leur méfait ? Shana est maligne, pourtant l’inspiration lui manque cruellement. La crainte pour ses employées dévouées et innocentes hante son esprit, nébulisant ses pensées. Enfin, peut être pas pour une raison altruiste. Clair comme le cristal, lorsqu’on connait un peu le personnage.
Son visage devient plus sérieux, fixant sa comparse qui sirote goulûment (quelle gourmande) son rafraîchissement avec élégance conservée.
" Tu as une idée pour résoudre ce fâcheux problème ? "
Buvant une gorgée de l’eau savamment parfumée à la perfection, avant de se perdre dans l’imaginaire fantasmé. Décidément, Toka était notamment douée pour servir avec abnégation le rafraîchissement préféré de l’ingénue. Une qualité grandement appréciée. Dommage qu’elle ne soit qu’une vile servante, destinée à demeurer à sa place de servile gourgandine. Mais une récompense de temps en temps envers la méritante ne pouvait faire de mal. Shana allait la remercier de ses bons et loyaux service sans aucune retenue dès lors qu’elle aurait terminé de s’entretenir avec sa sœur adorée.
" Je me demande bien le mobile qui anime leur mauvais tour... "
La raison poussant les fanatique à commettre leurs méfaits est encore inconnue. Mais ce mystère ne peut perdurer. Tôt ou tard, le courroux vengeur du Thé allait s’abattre pour rendre justice.
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