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Number One ; Ft Nora & Setsu

Metaru Shūuhei
Metaru Shūuhei

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Ven 28 Juil 2017 - 0:23
Leoko Nora.

Takabe Setsuna.

A première vue, j’étais gâté. On pouvait pas être plus chanceux que moi sur le coup. J’étais même sûr et certain que Daisuke allait vouloir m’assassiner en voyant la bouille et surtout les formes affriolantes de ces deux belles femmes. Il faut dire qu’avoir deux bonasses comme ça dans ses rangs, c’est quelque chose ! Une aubaine pour n’importe quel gros queutard de mon genre. Seulement, voilà : Aucune de ces deux filles ne me faisait planer. Aucune ! L’une était ma pseudo fiancée et ne passait son temps qu’à foutre la merde partout où elle allait… Et l’autre… L’autre était une putain de mineure qu’on ne pouvait pas toucher et qui semblait toujours prompte à latter les couilles de n’importe quel homme qui oserait ne serait-ce que l’effleurer... Tu parles d’une aubaine… Le nouveau Raikage avait cru bon d’me refiler les plus belles genins de la cité ; sauf que ces assignations étaient une plaie et ressemblaient plus à une punition qu’autre chose. On pouvait le deviner rien qu’à voir ma tronche de constipé devant la liste pour le comprendre…

Y’a des jours comme ça où j’me disais que j’avais un karma de merde…

Puis une semaine s’écoula entièrement. Une semaine sans que je daigne rassembler mon équipe. « La une ». Même le numéro semblait suspect, bordel ! Si une bonne part de mauvaise foi expliquait ma passivité, force était de constater que j’avais été pas mal occupé. Après avoir été propulsé à la tête de mon clan, j’avais aussi hérité de la police et il avait fallu que je l’organise à ma sauce, avec bien évidemment l’aval du boss. Sauf qu’après quelques jours, tout était déjà prêt et des unités sillonnaient déjà les grandes artères de la cité. Les Metaru étaient les uniques policiers pour le moment, mais je prévoyais de recruter quelques personnes en dehors de mon clan pour ne pas « monopoliser » l’instance. Manquerait plus qu’on soit pointé du doigt déjà que nous étions les plus « barbares » des trois clans majeurs de Kumo. C’est à ce niveau de réflexion que j’avais soudain pensé à mes deux génins, plus spécialement à la mineure. Avec sa fameuse « reine des épines », elle pouvait bien intégrer les rangs et servir convenablement la ville…

Par contre, avec la moniale, c’était pas gagné…

J’avais beau l’avoir peloté, fessé, abusé d’elle comme un salopard qu’elle n’avait jamais réagi violemment. De ce fait, je n’avais aucune idée de ses compétences. Je me demandais d’ailleurs si elle savait vraiment se battre vu qu’elle avait tendance à fuir les problèmes. Non violente parce qu’elle était religieuse… Bah voyons… Déjà, une religieuse, ça n’escroque pas et ça remue pas son séant un peu partout… Paie ta fiancée quoi ! Devant ce constat amer, j’avais tout de même décidé d’envoyer une missive à Setsuna pour le rendez-vous. Il se déroulait tout bêtement au poste de police, de bon matin. Je ne voyais pas meilleur endroit pour papoter avec elles, de toute façon. Quand à ma « future épouse » ? Je l’avais tout bonnement prévenu de vive voix avant d’aller m’occuper d’autre chose en espérant qu’elle allait oublier ou aller faire des conneries ailleurs. Au terme du petit entretien que je voulais avoir avec ces bonasses, j’allais certainement demander des transferts ou les prendre sous mon aile, bien que j’avais un intérêt particulier pour Setsuna.

Le jour J finit par arriver. Je m’étais même levé très tôt, non pas parce que j’avais attendu avec impatience ce moment, mais bien parce que je voulais traiter quelques dossiers avant de m’occuper de ces vaches à lait. En quittant la demeure familiale des Metaru, c’est une Nora qui dormait à poings fermés que j’abandonnais sans vergognes. Vu qu’elle était maintenant habituée à la vie au sein de Kumo, elle n’aurait aucun mal à retrouver le « commissariat ». Je priai cependant pour qu’elle ne fasse pas de vague sur son chemin. Plus que ses divers créanciers, j’avais surtout peur qu’elle ne salisse notre réputation. Il était maintenant su de tous ou presque qu’elle était la fiancée du nouveau chef de clan. A cause de ce rang, aussi noble que chiant, j’avais arrêté de fréquenter bars et boxons à mon plus grand regret ; et ce d’autant plus que j’étais à moitié casé. Mais pour ne pas déprimer, je pensai à autre chose et le travail m’occupa assez largement jusqu’à dix heures du matin. Les dossiers furent bouclés à temps. Une bonne chose de faite !

C’est sur ce sentiment du devoir accompli et du travail bien fait que je me retrouvai sur la grande terrasse situé sur le toit du bâtiment de la police, clope au bec.

La brise était douce et la vue presque panoramique qui s’offrait à moi était magnifique.

Un maitre hein… Ce serait bien la première fois que j’enseignerais d’autres personnes que des Metaru…
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Leoko Nora
Leoko Nora

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Jeu 3 Aoû 2017 - 21:24
Je me remarque à beaucoup complimenter le récent sommeil de Nora. Sa nature molletonneuse et de ses bienfaits restaurateurs. A vrai dire, je me permets d’en parler car il n’avait fait que s’améliorer au fil des années. Les lits faits de pailles picotant ou de glaises arides ne semblaient plus que poussières de son rugueux passé. L’avenir avait fait place à un immense futon où elle et son mari roupillaient paisiblement. Chacun d’eux avait durement travaillé la veille pour mériter un tel répit. Les obligations bureaucratiques pour l’homme. Les obligations conjugales pour la femme. Même si les doutes persistaient quant aux fameuses activités externes de son homme, la moniale se forçait à y croire, faisant confiance aux louanges des femmes de la maison Metaru. Elle en rigolait beaucoup d’ailleurs. De ce portrait marital qu’elles dessinaient avec tant de ferveur. Il était très contrasté par rapport à l’image que l’ecclésiastique avait de son chéri.
Au moins, elle avait tout le plaisir de ne pas penser à lui pendant ses songes. Malgré tout, quelques fois, son image musculeuse venait torturer son imagination, mais forte, elle parvenait toujours à le chasser. Depuis quelques temps, Shuu avait grapillé des points dans la longue échelle romantique le menant au coeur de sa fausse femme. Actuellement, cette avancée était toujours insuffisante pour faire table rase de ce passé où il l’avait honteusement roulé afin de la jeter, brisée comme une chaussette usée. C’est probablement le seul songe qu’elle ne réussissait à éconduire hors de sa psyché. Les rêves auxquels elles aspiraient tant se transformaient alors en de limpides tourments où cette fameuse scène se répétait inlassablement. Heureusement, cette nuit n’avait pas réveillé ces rares démons adorant la persécuter. Les lèvres idiotes, elle savourait simplement sa sieste en compagnie d’un mari qui en faisait de même.

Au sortir de cette nuit, alors que le soleil venait tout juste de se lever, Nora dormait encore à poings fermés. La précédente journée avait été des plus épuisantes. Elle s’était donc autorisée arbitrairement un petit prolongement de sa confortable récupération. Juste une dizaine de minutes. Dormir toute la matinée n’avait de toute façon jamais été prévue dans ses plans. Elle avait du pain sur la planche et elle le savait pertinemment. Lessive, repas et bien d’autres tâches dont vous n’auriez même pas l’idée…
Une petite paupière obligée la contraignit à revenir à ses occupations de base. Les cheveux complètement ébouriffés, elle remarqua peu surprise, l’absence de son mari à ses côtés. Au début de leur fausse relation, elle était généralement la première à se lever pour lui préparer un copieux déjeuner. Mais depuis quelques temps, elle n’avait pas raté ses habituelles disparitions. Shuu partait avant elle et semblait filer vers ses opérations… ou alors avait-il trouvé une maison close aux horaires matinales capable de satisfaire ses désirs évidents. Cette éventualité la fit grandement soupirer, mais dans un sens, il y avait du bon à ne pas le voir aux aurores. Pas de railleries misogynes, ni de ventre infernal à rassasier. Elle pouvait s’occuper de sa propre personne et s’appliquer davantage sur son bien-être personnel. Vivant dans d’immenses quartiers, elle avait les moyens d’être plus rayonnante que jamais.

Pourtant, elle n’oublia pas ces femmes aux grands cœurs l’ayant accueillies avec tant de simplicité. Ce genre de dettes qu’elle estimait avoir pour elles, était un véritable plaisir à rembourser. Aux alentours de 8h45, elle se rendait aux grandes cuisines où quelques demoiselles s’activaient déjà aux fourneaux. Même sans créer tout un pataquès, son entrée était remarquée comme toujours. La moniale était très jovialement saluée par toutes ces femmes de grande volonté. Avares en ragots, les ragouts pouvaient patienter.
Sans cesse, elles lui demandaient si les récentes absences répétées de son homme ne l’attristaient pas. L’air compréhensif, elle rétorquait en affirmant qu’elle saisissait pleinement le rôle important de son mari au sein de cette cité et donc sa non-présence auprès d’elle. Sincèrement, elle ne souhaitait pas que les demoiselles s’imaginent de stupides choses, d’où cette réponse malignement fignolée. Mais c’était mal connaître ce cercle de femmes aux foyers. Leur couple les captivait au point de vouloir tout faire pour que leur histoire ne batte pas de l’aile. Un succès menant à un mariage, c’est bien la seule chose qu’elles attendaient dans cette romance. S’ils apprenaient par malheur qu’il n’y avait qu’un simulacre derrière cet amour… Nora souffrit d’une brève migraine en effleurant cette contingence. Elle était à la merci de leurs inquiétudes et ses refus ne pouvaient être catégoriques au risque de décevoir ces femmes.

Pendant qu’elle les aidait à cuisiner, les idées semblaient fleurir dans leur esprit passionné. L’ex-sédentaire se demandait parfois pourquoi ces femmes s’impliquaient tant dans le couple de Shuu. D’autres personnes étaient en couple dans cette immense maison, mais le moine n’avait remarqué cette identique admiration extrêmement guillerette. Même pour honorer le rang de Shuu, leur engouement avait de quoi être suspect… mais peut-être était-ce juste « le privilège » accordé au chef du clan et à sa supposée femme. Dans une nuée de fomentations cyniques, les femmes crièrent en même temps :

« UN BENTO !!! C’EST CA !!!!! »

Ce que le moine retourna, la face ahurie. Au cours du peu de temps qu’elle avait passé ici, c’était l’une des mignonneries qui lui avait été appris. Un repas soigneusement dressé dans une boîte et composé généralement de riz et d’ornements gustatifs appétissants. Le remplissage de ce récipient était devenu LA priorité de la matinée. Bien au-delà de tout autre priorité. De son côté, le moine avait complètement délaissé l’option du refus. Elle écoutait les suggestions farfelues de ces demoiselles et se mettait à rougir bêtement. Ces femmes exprimaient sans vergogne de belles conneries : Beaucoup de légumes pour amener la fertilité, de la viande pour séduire l'estomac de son mari et enfin un cœur dessiné avec du coulis de tomate pour symboliser leur union apparente…
Un non. Trois lettres qu’elle ne trouva la force d’exprimer. Dès que ces femmes s’étaient fourrées une idée stupide en tête concernant leur couple, les stopper devenait impossible. Impuissante, le moine rougissant s’attelait à la préparation du bento sous l’œil avisé de celles qui avaient été ses professeurs. Le design avait été pensé et aucune modification ne pourrait se faire : Un riz blanc surplombé par une mini tomate entourée d’un cœur fait d’un coulis de tomates, couvrait la moitié du plat. Dans l’autre moitié était dressée des tranches de ports panés, des sushis et quelques légumes assaisonnés. En fait, le goût des aliments était peut-être la seule inconnue, mais la moniale avait confiance en ses excellentes aptitudes culinaires. Shuu allait apprécier ou se faire voir.

Il n’y avait plus qu’à lui amener cette boîte et surtout… à savoir où l’amener, car oui, Nora n’avait aucune idée du lieu où pouvait se terrer son mari. En le leur avouant, elle eut le mérite de faire rire quelqu’un. Cette femme âgée qui avait dissipé la haine qui s’était emparé de Shuu lors de la réunion. Le chef de clan jouait les cachotiers et la femme s'était retenue de rire doucement lorsqu’elle l’apprit. Le but n’était pas de se moquer du moine, mais cette situation avait l’air de la rendre nostalgique. Aussi, elle révéla au moine l’endroit dans lequel devait être son ivrogne de mari : un commissariat.
A sa grande surprise, elle se remarqua à exprimer un soupir soulagé. Le savoir à l’écart des bars à salopes l’avait étrangement rassuré, elle qui voyait toujours leur amour comme une comédie. Cette réaction apaisée avait d’ailleurs été rapidement interceptée par les groupies qui s’excitèrent encore et encore par cette anormale jalousie apparente. Appliquées, elles avaient même décidé d’accompagner la jeune femme jusqu’à son homme. Du moins, seulement un petit groupe. Les autres avaient encore du boulot. Au menu, plusieurs séries morbides d’encouragements et de sensibilisation à son rôle de femme du chef de clan Metaru.
Cette compagnie était finalement une bonne chose pour des tas de raisons. Surveillée, elle n’avait que peu de chances de se créer des ennuis et d’en rajouter malheureusement à son sauveur. Entourée par les femmes fortes d’un clan puissant, aucune présence nuisible ne viendrait la déranger ou la provoquer. Enfin, elle était certaine d’arriver à destination sans se perdre car contrairement à elle, les demoiselles Metaru savaient où se trouver ledit commissariat. Marchant dehors au milieu de ces accompagnatrices, elle était vêtue d’un kimono azur qui lui avait été généreusement offert par ces mêmes personnes… En effet, elles faisaient tout pour que leur couple soit un succès.

Aux alentours de 10h10, elle était devant cette bâtisse faisant régner l’ordre et avant même qu’elle ne puisse se retourner, les femmes Metaru l’avaient déjà quitté. Elles avaient vraiment tout prévu ! Les laisser tous les deux pour régler leur semblant de problème. Romantique… et perfide ! Tôt ou tard, elle saurait si Nora a eu le cran de donner le bento à Shuu et très honnêtement, la moniale craignait leur réaction dans le cas où elle admettra ne pas l'avoir fait.
Presque contrainte, elle pénétra dans la seconde forteresse de son mari et fut aussitôt saluée par l’accueil. Un Metaru. Avec le temps, elle avait appris à les reconnaître et de toute façon, le « Nora-sama » qu’il lui cria avec tant de respect trahit son identité. Peu enclin à ce genre de formalités, elle insista pour être appelée par son prénom, mais son respect même railleur était trop solennel pour qu’il s’abaisse à de telles simplicités. Dans une voix très révérencieuse, il lui révéla tout de suite dans quelle pièce s’était planquée l’homme de sa vie.

En suivant les instructions de cet homme respectueux, elle trouva bel et bien la salle dont il avait parlé. Effectivement, il semblerait que Shuu avait un bureau rien que pour lui, dans lequel il détaillait chacune des opérations effectuées par les patrouilles de la ville. Que de constats qui aggravaient le nouveau statut que devait porter la moniale. Légèrement hésitante, elle ne parvint à toquer pour entrer. Une douce brise la faisait frissonnait et amplifiait son angoisse… d’où pouvait provenir ce vent frais ? Elle n’avait trouvé aucune fenêtre ouverte dans les couloirs.
Son corps se laissa diriger par ces ondulations venteuses. Shuu pouvait attendre un peu. Ce n’est pas comme s’il devait manger immédiatement. Les pas montant plusieurs escaliers, elle oublia presque qu’elle était venue ici uniquement pour lui donner ce fichu plat embarrassant. Pour l’instant, elle avait juste envie de savoir pourquoi un petit souffle virevoltant s’était engouffré dans la bâtisse policière. Et les derniers pas qu’elle effectua lui donnèrent la réponse. Une porte grande ouverte donnant sur l’extérieur et un abruti qu’elle connaissait bien. Dos à elle, il ne semblait pas avoir remarqué son arrivée, trop occupée à souffloter les vapeurs de sa cigarette. Autant faire une entrée remarquée… même si elle ne voulait pas en faire, elle était de nature à les provoquer. Discrètement, elle s’approchait de cet homme, de son homme et glissa soudain sa bouche près de l’oreille de ce dernier. Ses bras cisaillèrent gentiment le torse de son mari pendant que sa poitrine s’écrasait dans le dos de son mari. Ses mains tenaient le bento qu’elle avait été contrainte de préparer, enroulé dans un tissu arborant l’emblème des Metaru. Enjouée, malicieuse, elle lui murmura une petite devinette :

« Devine qui est la douce et merveilleuse personne qui t’a amené ton repas, aujourd’hui ! »
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