Depuis ces derniers jours, notre cher flavescent passait son temps à se faire passer pour un commerçant auprès de différents membres Impériaux, rencontrés pour la plupart d’entre eux de manière hasardeuse. A la veille de son départ pour une lointaine contrée, le jeune homme de vingt-trois ans allait une nouvelle fois pousser la supercherie à son paroxysme en louant une petite libraire, qui était situé dans le cœur névralgique de la cité des nuages. Un choix qui était loin d’être anodin puisque cela lui permettait d’avoir une vision globale sur les passants et plus précisément soldats du Teikoku.
Pourquoi s’intéressait-il aux membres de cette faction ? Surtout vu le fiasco lors de son recrutement… Pour le dédouaner, la secrétaire n’était pas conciliante aussi.
Après avoir soigneusement dissimulé son bandeau frontal dans un sceau, le blondinet inspecta l’intérieur de son fameux commerce pour vérifier que rien ne manquait, en bon libraire c’était la moindre des choses à effectuer. Ouvrir cette échoppe était une couverture parfaite afin de récolter des informations sur les envahisseurs représentants de l’Empire. Il avait réussi à berner une certaine Asami et un dénommé King, tous deux naïfs ou complètement stupides, puisqu’ils révélèrent malgré eux des choses qui pouvaient leur être préjudiciable. La tromperie était une caractéristique fondamentale chez le Nakamura et c’était cette carte qu’il comptait mettre en avant aujourd’hui.
Le Kumojin se posta devant la devanture de sa boutique pour attirer la clientèle : la manœuvre pouvait enfin commencer.
« Mesdames, Messieurs, venez découvrir un objet totalement révolutionnaire qui changera vos vies ! » s’époumona-t-il tout en gesticulant.
« Un parchemin qui fait apparaître les plats des établissements les plus côtés de la cité ! Adieu donc les réservations et les interminables files d’attentes, vous pouvez à présent vous restaurez où bon vous semble avec ce produit ! »
Quelques passants avaient l’air intéressés par les propos du marchand mais ce dernier avait repéré une personne dégarni entrain de s’empiffrer, cette personne attira son regard puisqu’elle portait l’insigne du pays du feu et il ne voulait pas perdre l’occasion de rouler une nouvelle fois un soldat.
« Hé toi mon brave, que dirais-tu d’essayer ? » prononça-t-il de façon que monsieur calvitie l’entende.
*Il a une bonne tête de pigeon celui-là. Et puis ce sera un jeu d’enfant de déplumer quelqu’un qui n’a plus rien sur la caillasse. *
Cela ne faisait que quelques jours tout au plus, que Mujun était arriver dans la grande cité du village caché des nuages. L'endroit était magnifique et représentait très bien la force Kumojins. Bien que faisant partie de l'Empire, qui s'était permis d’annexé cette région. L'Akimichi ne pouvait qu'être admiratif devant l'ingéniosité Kumijin. De plus, étant un fin gourmet, comment ne pas résister aux spécialité local, des brochettes d'animaux qu'il n'avait encore jamais goûté, des dessert au lait de yack qui possédait une amertume étrange mais savoureuse.
C'est donc au milieu de cette grand cité que Mujun se baladait, comme un bon touriste qu'il était. Au départ c'était le temple Kousai qui l'avait envoyé ici pour se renseigner sur les différents temple présent dans le territoire de la foudre, malheureusement s'était mal connaitre un Akimichi. Se pèlerinage s'était transformé en marathon de la bouffe. Le chauve prenait le temps de s'arreter à chaque étale, regardant les merveilles qu'avait à offrir cette contré qui était encore inconnu pour lui. Tout semblait différent, et pourtant il y avait tout de même quelque similitude notable. Tout comme sur le territoire du feu, le peuple semblait subir les actions des dirigeants, chacun faisant de son mieux pour s'en sortir .
Pensif sur la question du : "Comment se sent le peuple ici". Il reprit très vite ses esprits quand il entendit un homme parler de parchemin magique offrant les meilleurs plat de la capital. C'est donc avec les narine dilatés et un léger filet de bave au coin de la bouche que l'Akimichi s'empressa de rejoindre la personne qui présentait se produit tout bonnement révolutionnaire. Arriver devant se qui ressemblait à une libraire, il regardait un jeune homme présenter ses fameux parchemins magique pour fin gourmet. Reniflant à plein poumons, Mujun ne sentait aucun odeur de nourriture émaner de ses rouleaux. Il s'approcha en bousculant sans le vouloir les personnes agglutiné devant l'étable, et attrapa un de ses pseudos papier magique. Il renifla une nouvelle fois, aucune odeur hormis celui d'un papier tout se qu'il y avait de plus normal, il secoua le rouleau , dans le doute, mais rien. Puis lui vient une idée... Peut être que...Mais oui. C'est certainement le papier qui devait avoir le gout des ses mets délicieux. Il croqua dans l'un des rouleaux et mâcha difficilement , il se força même à avaler le tout. Déçu il dit au commerçant:
« Hey... Ton truc il est pas bon ... Y'a pas de gout . C'est fade ... La prochaine fois ajoute au moins des épices ! »
Déçu de cette expérience en pays étranger, il se préparait à partir. Oui le Mujun était un homme étrange, qui heureusement n'avait pas été crée en série par les dieux. Car avec sa maladresse et son don innée pour s'attirer les problèmes... A lui tout seul il était capable d'engendrer l'apocalypse , alors imaginer avec tout un groupe de gens comme lui... La fin du monde, effrayant non ?
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ふか み-Le toxico rigolo
Ce qui est nourriture pour l'un, est un poison pour l'autre.
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